En guise des Soixante dix ans du leadership du Rabbi, il est temps de se pencher sur sa vie.
Dans cet article nous allons approfondir, autant que cela nous est possible, la relation du Rabbi et le chant.

Personnellement, le Rabbi a enseigné. aux ‘Hassidim 14 mélodies. C’était entre les années 5714 et 5725. Généralement cela se passait, à la cloture du Seder du pessa’h et au petit matin de Sima’hat Tora. Le Rabbi descendait dans la grande synagogue retrouver les plus courageux, pour passer des moments exceptionnels avec lui.

Le Rabbi encourageait les participants à ajouter dans l’étude de la Tora en leur donnant des bénédictions.

En 5734, lors des Hakafoth, le Rabbi entamma la Marseilleise avec les paroles de la prière de Chabath Haadereth Vehaémouna. Depuis, celui ci est l’hymme traditionnel dont on récite ce paragraphe avant le Barou’h Chéamar.

Lors des Farbrenguen – réunion ‘Hassidique – établies les Chabath et lors de dates sélectionnées, durant lesquels le Rabbi commentait la Paracha et les sujets du moment, les chants – Nigounim – servaient aux Hassidim de participation au ‘forum’ pas seulement comme ‘élèves’ mais aussi comme acteurs, en chantant durant les intersections et les pauses des paroles du Rabbi.

Le Rabbi profitait de ces moment pour bénir les Hassidim, qui, avec un petit goblet contenant du vin, le présentaient de leur place au Rabbi, et attendaient d’attraper son attention. Avec un léger hochement de tête, le Rabbi chuchotait « Bera’ha Vehatsla’ha – bénédiction et réussite ». Les Hassidim profitaient de ces moments pour prendre de bonnes décisions dans la progression de leur attachement à l’Eternel.

A partir des années 80, lors de l’entrée du Rabbi à la Synagogue pour les prières et les Farbrenguen, les Hassidim chantaient pour ainsi accueillir le Rabbi.

A partir de 5772, lors du soixante dixième anniversaire du Rabbi, un hymne est composé contenant des versets du Tehilim approprié à la nouvelle année.

A la fin du Seder de Pessa’h, les Rabbis avaient l’habitude de remettre le vin de la coupe d’Eliyahou dans la bouteille. Les participants chantaient alors le E-li Ata.

A une prochaine occurrence on élaborera le mythique des chants dans la liturgie Hassidique.