A l’époque du Tséma’h Tsédèk, le troisième Rabbi de Loubavitch, le gouvernement russe imposa la conscription trois fois dans une même année. C’est ainsi que des milliers de jeunes Juifs, souvent déjà mariés, furent contraints d’aller combattre au loin dans l’armée du tsar, étant pourtant leur oppresseur.

Certains ‘hassidim dirent alors devant le Tséma’h Tsédèk : « Quel terrible décret… Cela ne fait aucun doute : nous sommes arrivés au temps de Machia’h ! »

Le Tséma’h Tsédèk répondit : « Quand le Machia’h viendra, c’est une grande lumière qui apparaîtra, une lumière merveilleuse. Qui sait quelle obscurité il doit y avoir avant une telle lumière ! »

 (D’après Lechema Ozen p. 59)