Même si on n’a pas grand-chose, on ne doit pas laisser le pauvre sans rien. On s’efforcera de lui donner au moins une petite somme ou un aliment. Quand on donne la Tsedaka, on s’efforce de donner le meilleur : « Celui qui désire se rajouter des mérites, forcera son mauvais penchant et ouvrira largement sa main. Tout ce qu’il donne pour la Mitsva, que ce soit le meilleur et le plus beau : s’il construit une synagogue, qu’elle soit plus belle que sa propre maison ; s’il accueille des invités, qu’il leur donne la meilleure portion… » (Choul’hane Arou’h Yoré Déa 248 : 8). Même si on donne sans intention, on a accompli la Mitsva : ainsi, si on a égaré de l’argent et qu’un pauvre l’a trouvé, on aura le mérite d’avoir donné la Tsedaka. Il vaut mieux donner une somme correcte à un seul pauvre plutôt qu’un petit peu à plusieurs qui n’auront ainsi pas de quoi être satisfait. On donnera en priorité : – A ses proches parents – Aux pauvres de sa ville ; aux pauvres de Terre Sainte plutôt qu’aux pauvres de l’étranger – Aux érudits plutôt qu’aux ignorants – A ceux qui n’ont pas de quoi manger plutôt qu’à ceux qui n’ont pas de quoi se vêtir correctement – A une femme plutôt qu’à un homme, à une fiancée orpheline plutôt qu’à un fiancé orphelin. (d’après Hamivtsaïm Kehil’hatam – Rav Shmuel Bistritzky

  Même si on n’a pas grand-chose, on ne doit pas laisser le pauvre sans rien.

On s’efforcera de lui donner au moins une petite somme ou un aliment. Quand on donne la Tsedaka, on s’efforce de donner le meilleur : « Celui qui désire se rajouter des mérites, forcera son mauvais penchant et ouvrira largement sa main. Tout ce qu’il donne pour la Mitsva, que ce soit le meilleur et le plus beau : s’il construit une synagogue, qu’elle soit plus belle que sa propre maison ; s’il accueille des invités, qu’il leur donne la meilleure portion… » (Choul’hane Arou’h Yoré Déa 248 : 8).

Même si on donne sans intention, on a accompli la Mitsva : ainsi, si on a égaré de l’argent et qu’un pauvre l’a trouvé, on aura le mérite d’avoir donné la Tsedaka. Il vaut mieux donner une somme correcte à un seul pauvre plutôt qu’un petit peu à plusieurs qui n’auront ainsi pas de quoi être satisfait. On donnera en priorité : – A ses proches parents – Aux pauvres de sa ville ; aux pauvres de Terre Sainte plutôt qu’aux pauvres de l’étranger – Aux érudits plutôt qu’aux ignorants – A ceux qui n’ont pas de quoi manger plutôt qu’à ceux qui n’ont pas de quoi se vêtir correctement – A une femme plutôt qu’à un homme, à une fiancée orpheline plutôt qu’à un fiancé orphelin. (d’après Hamivtsaïm Kehil’hatam – Rav Shmuel Bistritzky

  Même si on n’a pas grand-chose, on ne doit pas laisser le pauvre sans rien. On s’efforcera de lui donner au moins une petite somme ou un aliment. Quand on donne la Tsedaka, on s’efforce de donner le meilleur : « Celui qui désire se rajouter des mérites, forcera son mauvais penchant et ouvrira largement sa main. Tout ce qu’il donne pour la Mitsva, que ce soit le meilleur et le plus beau : s’il construit une synagogue, qu’elle soit plus belle que sa propre maison ; s’il accueille des invités, qu’il leur donne la meilleure portion… » (Choul’hane Arou’h Yoré Déa 248 : 8). Même si on donne sans intention, on a accompli la Mitsva : ainsi, si on a égaré de l’argent et qu’un pauvre l’a trouvé, on aura le mérite d’avoir donné la Tsedaka. Il vaut mieux donner une somme correcte à un seul pauvre plutôt qu’un petit peu à plusieurs qui n’auront ainsi pas de quoi être satisfait. On donnera en priorité : – A ses proches parents – Aux pauvres de sa ville ; aux pauvres de Terre Sainte plutôt qu’aux pauvres de l’étranger – Aux érudits plutôt qu’aux ignorants – A ceux qui n’ont pas de quoi manger plutôt qu’à ceux qui n’ont pas de quoi se vêtir correctement – A une femme plutôt qu’à un homme, à une fiancée orpheline plutôt qu’à un fiancé orphelin.

(d’après Hamivtsaïm Kehil’hatam – Rav Shmuel Bistritzky