Hommes et femmes ont l’habitude de ne pas entreprendre de « travaux » (tels que ceux interdits à ‘Hol Hamoed) depuis le coucher du soleil jusqu’à ce qu’ils aient compté le Omer.
On ne célèbre pas de mariage et on ne se coupe pas les cheveux, en souvenir de l’épidémie qui décima les 24.000 élèves de Rabbi Akiba à cette époque du Omer. Les Séfaradimes respectent ces lois de deuil jusqu’au 19 Iyar (mercredi 13 mai 2020) ; les Achkenazim depuis le 1er Iyar (samedi 25 avril 2020) jusqu’au 3 Sivan au matin (mardi 26 mai 2020) à part la journée de Lag Baomer (mardi 12 mai 2020).
La coutume du Ari Zal, suivie par la communauté ‘Habad, veut qu’on ne prononce pas la bénédiction de Chéhé’héyanou (sur un fruit nouveau par exemple) durant toute la période du Omer et qu’on ne se coupe pas les cheveux jusqu’à la veille de Chavouot (cette année jeudi matin 28 mai 2020).
Un garçon qui aura trois ans après Pessa’h, fêtera sa première coupe de cheveux à Lag Baomer (mardi 12 mai 2020) et celui qui aura trois ans après Lag Baomer la fêtera la veille de Chavouot (jeudi 28 mai 2020).
Il n’y aucune restriction sur les promenades ou les séances de piscine et baignade